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Le nombre d’or et la pyramide du centre de la France : Vers la Vérité Géométrique

Le nombre d’or et la pyramide du centre de la France : Vers la Vérité Géométrique

Explorez les secrets fascinants de la Pyramide de Saint-Amand Montrond. Découvrez ses propriétés mathématiques et sa relation avec la géométrie sacrée. Plongez dans les mystères de cette pyramide située au cœur de la France, et explorez son lien subtil avec le nombre d’or ainsi que les énigmes géobiologiques qui l’entourent. Une exploration captivante de l’architecture, des mathématiques et de l’histoire.

Les citrons momifiés : expériences en géobiologie et magnétisme

Pour le besoin de cet article, nous avons refait l’expérience avec des citrons.

En quête de réponses aux mystères de la Pyramide de Saint Amand Montrond, nous nous sommes tournés vers une expérience intrigante, inspirée des travaux de pionniers tels qu’Alfred Bovis. Des citrons, des maquettes en bois, et un étonnant voyage dans le monde de la géobiologie et du magnétisme.



Nous avons conçu une maquette en bois de la Grande Pyramide de Gizeh et y avons placé un citron, noté A, à l’intérieur. À côté de lui, un citron témoin B du même lot, soigneusement disposé dans une boîte en carton. L’intention était posée, et le temps s’écoulait, révélant un phénomène troublant.

Après seulement 15 jours, le citron A avait perdu une quantité d’eau significativement supérieure à celle du citron B. Plus d’un an plus tard, le citron A était devenu dur comme la pierre, préservé de toute pourriture. Une étrange momification sans explication scientifique, mais laissant entrevoir des interactions d’informations dynamiques.


Cette expérience est en rapport avec les champs de cohérences, théorie abordé en géobiologie

Les dimensions de la pyramide : un clin d’Œil au Savoir Ancien

La dimension du côté de la base de la pyramide en partant de la partie “verre” est de 52,3m.

Entourant la pyramide, un autre carré suggéré par l’implantation au sol en pointillé de petits pyramidions en béton mesure 73,3m de côté.

Ces nombres en mètres sont plutôt quelconque à première vue. Mais convertie dans une autre unité de mesure, la longueur choisie par l’architecte devient plus parlante.

L’unité de mesure utilisée fait référence à une coudée bien connue des amateurs de géométrie sacrée : celle-là même retrouvée dans la grande pyramide de Gizeh en Égypte : j’ai nommé la coudée royale = 52,36 cm.

Une fois la conversion des mesures en “mètre” effectuée, nous obtenons pour la pyramide de Saint-Amand Montrond 100 coudées royales de côté tout rond, avec un contour en guise d’enceinte faisant 140 coudées de côté.

Pour rappel, la base de la Pyramide de Kéops fait environ 440 coudées royales de large avec une hauteur de 280 coudées.

Si la pyramide St Amand n’a pas les mêmes proportions que sa très grande sœur égyptienne, le maître d’œuvre montre qu’il souhaite, par la citation de cette unité de mesure, placer son bâtiment dans la filiation d’autres bâtisseurs tout à fait prestigieux. Il enrichit ainsi l’histoire et la cohérence de son bâtiment.

 

La coudée royale, et le nombre d’or.

Le nom est tout trouvé : la Cité de l’Or. Bien sûr, la première référence au métal précieux renvoie à sa fonction initiale : un centre dédié à l’orfèvrerie. Cependant, nous allons démontrer comment la coudée royale peut résonner avec un tel métal.

De nombreux débats entourent l’origine de la coudée royale, et il existe une multitude d’explications. Mais l’une d’entre elles retient notre attention, car elle convoque un nombre qui lui aussi fait couler beaucoup d’encre : j’ai nommé φ, le nombre d’or.

Ce nombre φ (1.618…), ou plus exactement cette proportion, peut être combiné dans une formule avec un autre nombre non moins célèbre : π (pi=3,1416…). Ainsi, avec la formule mathématique π-φ², nous obtenons 3.1416 – (1.618 x 1.618) = 0.52377, soit une valeur très proche de notre coudée royale.

C’est presque ici un jeu de mots entre “Cité de l’Or” et “nombre d’or” où la fonction du bâtiment résonne avec ses dimensions. Notons toutefois que φ est bien sûr connu depuis l’Antiquité, mais qu’il a été nommé “nombre d’or” que très récemment, depuis le 19ème siècle.

Cette proportion dorée (1.618…) aux propriétés mathématiques et géométriques remarquables est souvent utilisée dans les dispositifs harmonisants. On lui prêtait des vertus plutôt “positives” ; certains ne jurent que par elle.  Toutefois, Nous ne saivons pas si l’architecte utilisé a utilisé ce nombre dans ce but.

La Géométrie Mystique de la Pyramide : Un Angle de Réflexion

Poursuivant notre exploration, passons des mesures à la géométrie, tout en aspirant à une explication aussi limpide que possible.

L’angle d’inclinaison des côtés de la pyramide est de 45°. Il est à noter qu’il diffère de celui choisi par les constructeurs d’autres pyramides. Par exemple, celle de Gizeh présente une pente plus prononcée avec un angle de 51° 51′. Plus accentuée encore, une pyramide Maya au Guatemala à Tikal oscille entre 60° et 80°.

En optant pour un angle de 45°, c’est avant tout la praticité qui guide le choix, en accord avec l’utilisation du module triangle de verre qui marque la structure.

Cependant, cet angle de 45°, conjugué à une base de 52,3 mètres de côté, a une autre conséquence : il attribue à la hauteur théorique de la pyramide une valeur de 26.18 mètres, soit φ² en mètres… Intéressant… Nous retrouvons ici φ², que nous avions déjà rencontré dans la formule de la coudée royale (Pour rappel : φ² équivaut à 1 + φ, soit 1 + 1.618 = 2.618).

Néanmoins, lorsque nous parlons de hauteur théorique, il convient de noter que la partie supérieure de cette pyramide a été “tronquée”. Cependant, pour concevoir le plan de l’édifice, une phase de dessin implique de tracer la pyramide dans son intégralité, pour ensuite “effacer” la partie supérieure. Ainsi, bien qu’elle n’existe pas dans sa forme actuelle, elle a bel et bien été envisagée…

Cela pourrait également jouer sur la relation entre l’architecte, le dessin et le spectateur qui, en face du bâtiment, cherche du regard la pointe des triangles s’élevant vers le ciel.

Nous retrouverons d’ailleurs ce jeu de plein et de vide plus tard.

Coudée et ses dérivées…encore le nombre d’or.

Les qualités ludiques du nombre d’or se révèlent également dans la coudée et ses subdivisions : pied, empan, palme et paume. Dans ce segment, nous explorerons comment l’architecte a habilement utilisé ces éléments pour définir certaines dimensions de sa construction.

Ces termes, évoquant le corps humain, étaient déjà en usage durant l’Antiquité pour les mesures. Cependant, la relation entre ces sous-multiples de la coudée passe par le nombre φ. En passant de l’empan au pied, puis du pied à la coudée, cette progression est marquée par une multiplication par φ. De manière inverse, en divisant le pied par l’empan, on obtient φ.

Cette symphonie de proportions se manifeste également géométriquement dans le pentagramme, une étoile à cinq branches.

Ces proportions ont été ingénieusement appliquées pour calculer les dimensions des ouvertures ainsi que la hauteur de la section supérieure de la pyramide. Si la base de la pyramide équivaut à une coudée (20 x φ2 = 52,36 m), alors les pointes des arêtes se trouvent à une paume de la hauteur théorique du sommet, soit 20/φ2 = 7,64 m. Le toit du bâtiment est quant à lui positionnées à une hauteur d’une palme du sommet, soit 20/φ = 12,36 m.

Ce procédé se retrouve dans divers autres éléments de l’édifice, notamment pour déterminer les ouvertures d’accès à l’intérieur du bâtiment.

En plus de s’inscrire dans la tradition des maîtres bâtisseurs à travers l’utilisation de ces unités de mesure, l’architecte a délibérément intégré la proportion dorée comme un outil quasi incontournable dans l’élaboration des plans. Ce choix n’est pas nouveau, d’autres architectes du passé, à l’image de Le Corbusier et son “Modulor” au XXe siècle, ont également renoué avec ce système de proportions.

Une fois de plus, pour ce projet singulier qu’est la Cité de l’Or, l’architecte a désiré orner la pyramide d’un or issu des nombres et des proportions choisies avec soin, créant ainsi une harmonie singulière entre mathématiques et architecture.

Exploration de la Proportion Dorée en Géobiologie : Entre Harmonie et Réalité

Lorsqu’une architecture destinée à abriter un institut dédié à l’or et à l’orfèvrerie s’inspire du nombre d’or, cela semble être une démarche parfaitement logique, une subtile inclinaison de la tête en direction du symbolisme.

Au croisement du bien-être et de la géométrie dite “sacrée”, la proportion dorée se dresse fréquemment en figure de proue. On la dépeint comme “divine” et on lui attribue des propriétés mathématiques éminentes, accompagnées d’un certain pouvoir. Elle serait porteuse de l’aptitude à instaurer l’harmonie dans un espace.

Cette proportion se voit dotée du pouvoir d’éveiller une réponse émotionnelle singulière chez les observateurs, une puissance à susciter une perception de beauté transcendante.

Le Bilan Troublant du Nombre d’Or : Un Regard sur la Pyramide de Saint Amand Montrond

Toutefois, si l’on prétendait que la simple incorporation du nombre d’or dans une structure puisse dynamiser le lieu, la réalité serait bien différente.

L’expérience de la Pyramide de Saint-Amand Montrond en est une illustration troublante. À ce jour, le nombre d’or n’a pas réussi à soutenir les différents projets qui ont vu le jour au sein de cette énigmatique pyramide.

La réalité criante peut être consultée à travers une série d’articles, notamment celui-ci tritré :”Le projet basé sur le luxe fait plouf à Saint-Amand-Montrond”
liens vers l’article

Récemment, le maire actuel de la ville a qualifié la pyramide d'”héritage désastreux”, pointant du doigt les dépenses d’entretien considérables qu’elle impose à la municipalité : lien article.

En géobiologie, l’emploi du nombre phi peut être une recette qui fonctionne, mais cela ne garantit en rien une efficacité systématique.

La proportion dorée, avec sa profondeur mystique et son potentiel, demeure un outil qui réclame une utilisation prudente et éclairée, au risque de se perdre dans les méandres d’attentes disproportionnées.

Révélations à Travers les Ouvertures

Le mystère ne s’arrête pas à la surface de la pyramide. En scrutant les quatre ouvertures qui pénètrent dans sa structure, une énigme similaire se dessine.

Cependant, comme toute œuvre d’art, le dessin de la pyramide peut être interprété de multiples façons, offrant un kaléidoscope visuel qui titille notre imagination.

À première vue, la pyramide se présente sous la forme solide de ses côtés bien construits. Mais depuis les hauteurs du ciel, un autre motif se révèle.

L’ensemble rappelle une fleur, ses quatre pétales doucement incurvés. Ce motif est d’ailleurs repris dans le logo du site, un carré en équilibre sur un de ses coins, relié par quatre losanges et un octogone central.

Cependant, il est temps d’explorer une perspective différente, celle des vides.

Le vide, un élément clé de l’architecture et des arts, est déjà présent dans cette pyramide par l’absence de son sommet. Une absence qui, pourtant, trouve sa signification dans les proportions soigneusement planifiées. Comme une scène en négatif, le vide devient une présence dynamique, capable de révéler et de faire vibrer ce qui l’entoure.

Cette notion de vide, parfois appelée “contre-forme” dans le domaine des logos et de la communication, peut abriter des significations cachées, dévoilées seulement aux yeux qui savent regarder au-delà de la première impression.

Des exemples célèbres, comme les logos de FedEx ou de Carrefour, illustrent comment le vide peut porter un message subliminal puissant, souvent imperceptible au premier coup d’œil.

La Croix Énigmatique

Un examen plus approfondi du dessin de la pyramide révèle un motif intrigant : une croix.

Des traits épais, équivalents en largeur aux portes du bâtiment, convergent vers un élargissement à chaque extrémité, dessinant un chemin qui s’ouvre devant nous. Cette croix évoque des images familières, celles de croix solaires qui ont marqué l’histoire.

Les croix pattées, chargées de symbolisme, rappellent les temps anciens où les chevaliers partaient pour Jérusalem au XIe siècle, revêtus de toges blanches ornées de croix rouges.

Ici, au cœur de la France, la pyramide semble dessiner en creux le symbole des templiers, une croix templière.

Ce n’est peut-être pas une simple coïncidence. Cette croix se connecte à l’histoire, à la géographie et au temps, reliant la pyramide au paysage à travers la méridienne et tissant des liens avec l’ordre religieux des moines soldats.

Bien que le mystère du méridien de France reste, les légendes des templiers perdurent, énigmatiques comme le Graal qu’ils auraient rapporté de leurs croisades.

C’est une découverte stupéfiante : une croix templière, soigneusement inscrite dans une pyramide aux proportions dorées, érigée au cœur de la France.

Une union singulière entre l’histoire et la géométrie, où les secrets du passé semblent gravés dans les pierres de l’architecture présente.

Révélations Géométriques : À la Croisée des Mystères dans la Pyramide de Saint Amand Montrond

En découvrant les propriétés mathématiques et géométriques de la Pyramide de Saint Amand Montrond, nous avons plongé dans un monde d’énigmes et de mystères.

Cette structure énigmatique, ancrée au cœur de la France, révèle une profonde harmonie entre la géométrie et la réalité. Les mesures précises et les proportions astucieuses révèlent un hommage subtil aux savoirs anciens et à la proportion dorée.

Cependant, la prudence est de mise dans l’interprétation de ces découvertes, comme en témoigne l’expérience de la Pyramide de Saint-Amand-Montrond.

La géométrie sacrée, bien que captivante, ne garantit pas nécessairement le succès d’un projet. Les mystères cachés dans les ouvertures, formes et vides de la pyramide continuent de susciter des questions sur l’histoire, la géométrie et la spiritualité.

Dans notre prochain article, nous élèverons notre perspective pour parfaire notre étude.

Nous explorerons le placement stratégique de la pyramide, scrutant son implantation et les liens qu’elle tisse avec son environnement.

Comme toute édification unique, nous nous pencherons également sur son orientation, une facette cruciale qui pourrait détenir la clé ultime de la compréhension de ce lieu captivant.

Restez à l’affût pour cette nouvelle plongée intrigante dans les secrets de la Pyramide de Saint Amand Montrond.

Benoît Blein

Pour citer cet article : Benoît Blein,  https://argemaformation.com/le-mystere-de-la-pyramide-de-saint-amand-montrond-un-edifice-etrange-au-centre-de-la-france/,  le 25 août 2023.

Illustrations : ©Benoît Blein 2023

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Benoît Blein est géobiologue et graphiste en Aveyron
Il anime à Argema Formation  un nouveau module Compréhension du monde Mégalithique

Benoît Blein

Pour joindre l’auteur :
benoit@fusainblanc.com
Tél. : 06 86 84 92 06

Saint-Ferréol, le 26 juillet 2023.

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